понедельник, 12 мая 2014 г.

Le Chant des partisans



Le Chant des partisans ou Chant de la libération est l’hymne de la Résistance française durant l’occupation par l’Allemagne national-socialiste, pendant la Seconde Guerre mondiale. La musique fut composée en 1941 par Anna Marly, d'origine russe réfugiée à Londres. Les paroles ont été écrites en 1943 par Joseph Kessel et son neveu Maurice Druon qui venaient tous deux de rejoindre les Forces françaises libres.
Ce chant met en évidence l’intensification de la résistance et la volonté de libérer le pays. 
Il s’agit par ailleurs de rechercher tous les termes mettant en avant la période sombre de l’occupation de la France.

Ce chant a pour but de motiver la résistance et en ce sens la glorifie. Il semble donc insister sur l’existence d’un grand nombre de résistants. Cependant même si la résistance a bien sûr eu un impact sur la libération du pays, le nombre de résistants était infime (environ 1%). Par contre l’efficacité de la résistance provient de l’union des Français, décidés à vaincre la dictature nazie. Il faut également noter que ce chant présente de façon anonyme la résistance, or ce sont des hommes et des femmes, de tous horizons politiques et religieux, qui n’ont pas hésité à sacrifier leur vie pour lutter contre l’occupant nazi.

Anatole Lewitsky



Anatole Lewitsky est un résistant français.

Créé dès la défaite de la France en 1940, le Réseau du Musée de l’Homme est l’un des premiers mouvements de résistance face à l’Allemagne nazie. Fondé par Boris Vildé et Anatole Lewitsky, ethnologues exilés de Russie depuis la révolution bolchévique, et Yvonne Oddon, bibliothécaire, le réseau croît et se structure rapidement en recrutant d’autres résistants, notamment des intellectuels et des avocats. Avec l’aval du directeur du musée Paul Rivet, le réseau fabrique dans les sous-sols du musée le journal clandestin Résistance ainsi que de nombreux tracts, affiches, bulletins… Le réseau est également très actif dans l’organisation des filières d’évasion vers la Grande-Bretagne et l’Espagne ainsi que dans le renseignement, tant pour la France libre que pour les forces alliées. 

Les prisonniers ont été fermés dans une petite chapelle sur le territoire du fort et déjà d'ici,ont été remués vers la place du supplice.
Il n'y avait pas assez de place pour tous les sept condamnés près du mur des morts.Boris Vildé, Anatole Lewitsky et leur camarade français Valter ont demandé qu'on les fusille les derniers. Cette dernière demande a été réalisée.

Anatole Lewitsky et les autres prisonniers du "Musée de la Personne" ont été transportés à la prison Fren au fort de Mont Valerien à cinq heures du soir. Le fort est disposé sur un haut mont, au 12 kilomètres de Paris. (Et de plus, on sait que pendant l'arrestation dans le musée Lewitsky a réussi à échapper mais a été arrêté de nouveau dans le métropolitain.Pendant les interrogatoires ils le torturaient cruellement mais il n'a dit aucun prénom des participants du groupe de la Résistance.

воскресенье, 11 мая 2014 г.

Boris Vildé






Cet homme était l'un des premiers participants de la Résistance, il était son créateur. 
En juillet 1940 Boris Vildé commence ses activités anti-allemandes en compagnie d’intellectuels parisiens et de collègues du Musée de l’Homme. Ce groupe de Résistants se dénomme « Comité National de Salut Public ». Au tout début, il est composé de Boris Vildé, Anatole Lewitsky, Yvonne Oddon et s’élargit rapidement à Jean Cassou, Pierre Walter, Léon-Maurice Nordmann, Claude Aveline, Emilie Tillion, Germaine Tillion, Pierre Brossolette, Simone Martin-Chauffier, Jacqueline Bordelet, René Sénéchal, Marcel Abraham, Agnès Humbert, et d'autres. Dans quelques semaines ils ont édité le journal "Résistance" où ils attiraient l'attention au mouvement de la lutte contre les occupants allemands.
Mais en 1942 Boris a été arrêté et fusillé par les nazis pour son engagement.
Pendant son emprisonnement qui a duré 11 mois, il a écrit le livre "
Journal et Lettres de prison". Les lettres ont été adressées à sa famille(à sa femme et aux enfants)

среда, 5 февраля 2014 г.

Maria Skobtsova


 
La mère Maria Skobtsova. Elle sauvait la vie à plusieurs gens, comme tous les représentants de la résistance française.
Dans les années de la guerre la Mère Maria aidait aux réfugiés passer les frontières et donnait  les documents faux à ceux qui étaient menacés par les nazis.
Elle mourut au camp le 31 mars 1945, après avoir pris la place d'une femme juive destinée à la chambre à gaz.
Elle est canonisée (glorifiée dit-on plus souvent dans l'Église orthodoxe) en 2004 par le Patriarcat de Constantinople.
Ça vaut la peine de noter que tous les participants russes de la Résistance française étaient d’origine  noble. Cela signifie qu'elles avaient quand même une certaine influence et l'autorité qui les  avait aidées à gagner la confiance des Français

Elles étaient unies par l'amour de la France et  de la Russie, par leur  volonté de protéger les gens, elles se sont levées dans les années terribles de la guerre, les années de la plus grande tragédie et le triomphe sans précédent du courage humain et la résistance.

понедельник, 3 февраля 2014 г.


Tamara Volkonsky










Tamara Volkonsky est née à Saint-Pétersbourg le 11 août 1895.
Tamara met ses compétences médicales au service des Francs-tireurs et partisans français.En tant que Russe, elle est sollicitée pour traduire et pour diffuser des tracts auprès des supplétifs soviétiques de la Wehrmacht.
Tamara finit la guerre sur le front de l’Atlantique, en septembre 1944. Elle accompagne le 7e bataillon « Dordogne » jusqu’à la pointe de Grave en temps que lieutenant-médecin. C’est sous ce grade et dans cette fonction que le colonel Rousselier, commandant la XIIe région militaire, la cite à l’ordre du régiment le 24 mars 1945 et la propose pour la croix de guerre avec étoile de bronze et le diplome de participant.
Elle a passé sa vie en sauvant le peuple français. Quand la personne de la génération noble sacrifie sa vie au nom de la justice - cela mérite le respect.


Véra Obolensky 


  


  La princesse Véra Obolensky, surnommée Vicky, née le 11 juin 1911  et morte le 4 août 1944 guillotinée à la prison de Plötzensee à Berlin, est une héroïne de la Résistance française d'origine russe. 
    Elle est devenue une des figures centrales dans la Résistance, transmettait les rapports, écrivait les bulletins, travaillait comme l'agent de  liaison. 
   Véra Obolensky a été arrêtée par la Gestapo  le 17 décembre 1943, mise en prison, torturée et interrogée. Après le débarquement de Normandie, elle a été transférée à Berlin. Elle ne parle toujours pas, mais évoque sa foi chrétienne. Elle est guillotinée dans la prison de Plötzensee.
  En 1958, au cours d'une cérémonie officielle à Rueil-la-Gadelière, elle reçoit à titre posthume la croix de chevalier de la Légion d'honneur et la medaille de la Résistance .
 Sa vie était difficile. Elle a beaucoup fait pour sa nation, elle a risqué. Nous apprenons du document que Vicki était honorée des hautes distinctions du gouvernement  français  ce qui prouve l’importance de sa participation à  la Résistance.
 Elle a montré que la personne doit faire tout pour protéger son pays.

воскресенье, 2 февраля 2014 г.

Hans Heisel, le soldat allemand de la Résistance française


Ce document est une interview de Hans Heisel écrite par Lene Scharbatsky, Bernd Onner et Isabel Wilke.

Dans cette interview il s’agit de la biographie de Hans Heisel, l’histoire de sa participation à la Résistance française et de son rôle dans cette lutte.
Hans Heisel était  marin militaire et antifasciste.  Hans a servi comme exemple pour les antifascistes jeunes.
Premièrement, il a été conscrit et a du servir au  ministère  de la marine à Paris. Là, il a fait connaissance avec les français qui parlaient bien allemand et étaient les participants de la Résistance française. Ils  parlaient beaucoup de la guerre, de la politique... Hans n’a pas eu de réponses aux questions de ses camarades. Et après ça, un copain lui a raconté la politique des fascistes par rappport aux antifascistes et les juifs dans sa ville natale ce qui  l’a fait refléchir. Il a commencé à aider les autres participants étrangers de la RF guidé par le sentiment de l’amitié et de la camaraderie.
Avec le temps cela est devenu dur de vivre deux vies différents et un jour Hans a été arrêté. Mais il a réussi à s’échapper. Les amis l’ ont aidé à obtenir  les nouveaux papiers (les documents vieux ont été brûlés) et trouver la famille française qui pourrait l’accueillir. Ainsi Hans a senti pour la prémière fois ce que c’est la solidarité internationale.
Quelques mois après la guerre a fini et  la nouvelle vie a commencé. Quelqu’uns l’ ont consideré comme un traitre, les autres ont soutenu ses idées antifascistes. L’amitié entre les vieux camarades a continué, chaque année les participants se recueillent à Paris pour se voir.
Nous avons pris ce document parce que dans cette interview il s’agit d’un soldat allemand qui était un des plus importants participants de la Résistance française. D’un côté, il était allemand et devait passer pour le traitre envers sa patrie mais d’autre côté, il luttait pour la justice et la paix. Ainsi nous pouvons voir comme la guerre et l’ennemi commun unissent les nations.